GROUPE PRIVE - Défense collective et revendications
Bonjour,
Je vous explique ma situation
Un parent veut me donner son préavis le 23 décembre car elle doit tout de meme payer son mois ( la moitié après déduction avec certificat) Alors que son enfant a été malade
Le 30 décembre m écrit alors que nous sommes fermée depuis le 24 décembre car son enfant est malade savoir s il y a des malades au ma, ... je lui réponds en mentionnant que nous sommes fermé et que j ai pas encore sa lettre de préavis.
Elle me répond qu elle ne sait pas , elle voit avec son mari .
A la reprise la dame arrive avec l enfant . Je lui demande donc ce q il en est.
Elle monte le ton comme quoi pas de lettre donc elle verra en janvier .
Je lui explique également que je suis mal prise (à savoir qu ils avait déjà voulu porter plainte contre nous debut de la pandémie lorsque la ministre avait remis la facturation en place) j ai besoin d une ambiance sereine et de confiance avec un parent pour travailler et que je n y suis pour rien si son enfant tombe malade.
Déluge... c est de ma faute si l enfant est malade car certain parent entre dans le sas sans masque ( sas aéré, EN GENERAL UN PARENT A LA FOIS ET UNIQUEMENT DANS LE SAS POUR DESABILLER SON ENFANT , ENSUTE IL SONNE ET NOUS PRENONS L ENFANT)
un autre parent est témoin de la scène
Je lu propose un rdv avec son mari et ma collègue afin d apaiser les tension.
Sa réponse à été "donc vous refusez mon enfant !"
Je lui dis que non je veux faire une réunion pour discuter et apaiser les tensions.
Elle reparle d un refus d accueil et s en va en me menaçant, je vais sonner à l one ,...
Je ne compte absolument plus les accueillir, je mérite le respect et je ne peux plus travailler dans de telle condition avec eux.
Comment faire car je n ai jamais rompu un contrat.
J ai sonne à mon ac qui le dit d écrire ne lettre reprennent ce qui s est passé, d éventuellement prévoir un rdv mais je n ai vraiment plus envie de les voir
Bonjour.
La situation est en effet très tendue et outre le besoin de partenariat pour s'occuper de l'enfant sereinement, elle ajoute une tension pour tout le milieu d'accueil.
N'hésitez pas à me sonner pour que nous puissions échanger plus longuement au besoin (0499.22.45.86), mais voici quelques éléments de réponse :
La relation est liée par un contrat. Il faut donc s'y référer en cas de problème. Que dit votre contrat pour la rupture ?
Sans accord à l'amiable, c'est le contrat qui tranche.
A titre personnel, j'essayerai d'écrire aux parents et de leur expliquer que la relation étant ce qu'elle est, accueillir l'enfant sereinement n'est pas possible. Que vous proposez une fin de contrat à l'amiable sans prestation de préavis et en rendant l'avance forfaitaire. Que s'ils sont d'accord, il suffit de faire un écrit que les deux parties signeront.
Autres solutions (si vous avez l'ancien contrat classique de l'one) :
Bref, vous n'avez pas de solution pour une rupture immédiate sans préavis à priori sauf l'accord a l'amiable.
Dans la lettre que vous allez écrire, je signalerais tout de même le comportement dans l'espace accueil. Des cris dans une crèche, c'est non ! Ça tiendra lieu d'avertissement si récidive.
Sans avoir tous les éléments, j'ai essayé de brosser le tableau. J'espère que la situation va trouver une issue rapide et la plus sereine possible.
Courage !